Et si en février on s’arrêtait de fumer ?
Défi J’arrête, j’y gagne
Arrêter de fumer pendant 6 semaines, c’est le défi à relever en février. Pour la 24e année consécutive, le Défi J’arrête, j’y gagne invite les fumeurs à écraser leur cigarette du 6 février au 19 mars 2023.
« Ce premier objectif est réaliste pour la plupart des fumeurs tout en étant significatif puisqu’arrêter 6 semaines, c’est augmenter de 6 fois ses chances d’arrêter pour de bon », peut-on lire dans le communiqué émis par l’organisation Capsana.
En plus de pouvoir compter sur la force du groupe alors que des milliers de personnes au Québec relèveront le Défi en même temps, les personnes participantes bénéficieront aussi d’un éventail d’éléments de soutien gratuit pendant et après les 6 semaines.
« Le Défi J’arrête, j’y gagne ! est une initiative incontournable qui a fait ses preuves pour soutenir les fumeurs québécois souhaitant arrêter de fumer et ainsi leur permettre de vivre mieux et plus longtemps », précise le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé.
Prévenir et célébrer
Il faut bien comprendre que fumer n’est pas qu’une simple habitude, mais bien une dépendance à la nicotine. Il faut souvent faire plusieurs tentatives pour arriver à s’en défaire. « Mais lorsqu’on réussit, on ressent de la fierté. On mérite aussi de fêter sa persévérance et toutes ses petites victoires tout au long de la démarche, sans oublier de se célébrer, en prenant soin de soi » encourage l’organisme à travers son communiqué.
Le nouveau concept du Défi tend à rappeler la célébration liée à la cessation, et tous les bienfaits que cela apporte : moins de dépendance, meilleure santé, plus d’énergie et plus d’économie.
Faire équipe avec son pharmacien
Comme cesser de fumer peut impliquer un sevrage tant physique que psychologique, les personnes qui fument sont encouragées à se prévaloir de différentes formes d’aides afin d’augmenter leurs chances de réussir.
« Il est bien connu que les fumeurs rechutent entre autres parce qu’ils retournent à la cigarette comme bouée de sauvetage pour atténuer les inconforts liés au stress, aux envies de fumer et au manque de nicotine. Il est primordial de les guider vers les bons outils pour faire face à ces obstacles si on veut qu’ils réussissent leur démarche de cessation. », explique le pharmacien Alexandre Chagnon, directeur du nanoprogramme en santé numérique de l’Université Laval et porte-parole du Défi.
Inscriptions à defitabac.ca jusqu’au 6 février 2023.
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